Lucide sur les effets pervers et les causes tentaculaires de la corruption sur la société, notamment l’État, Gary Olius explique et propose de réfléchir sur les moyens de la combattre.

PRD: De tout ce qui a été dit en amont, comment visionnez-vous le développement de nos villes et villages ? FGV: De manière théorique, en fonction de ma vision à travers la Sociale Architecture Démocratique, j'ose vous rappeler que l'Habitat n'est ni une maison, ni un logement, ni une habitation.

c)- En matière d'Aménagement du Territoire Le but ultime de l'aménagement du territoire étant, d'abord, de faire face aux multiples bouleversements qui interviennent dans la géographie de l'emploi et, ensuite, de permettre aux gouvernements de prendre toutes les décisions possibles pour « influencer et réguler la localisation des activités, celles qui concernent l'équipement urbain et rural, les V.

Pierre-Raymond Dumas (P.

L'homme et l'oeuvre se ressemblent, ne font qu'un. L'homme et l'oeuvre fusent de toutes parts. L'homme est loquace, infatigable dans sa quête du savoir et dans ses raisonnements. L'oeuvre est impressionnante. Tant du point de vue thématique que du point de vue factuel. C'est cet homme que nous avons interrogé afin qu'il nous présente lui-même son oeuvre. Avec cette irrésistible loquacité qui lui est propre. Irrésistible Leslie Péan !

Voici un sujet dont l'actualité est malheureusement courante, spectaculaire même. Le sujet n'est donc pas tabou. Mais c'est avec une étonnante fraîcheur d'esprit qu'il est abordé par Mimi Gabriel. Sa sincérité inspirera bien des lecteurs et lectrices. Faites le compte des romans haïtiens publiés depuis trente ans qui sont restés dans le hit parade. Pas ceux qui ont profité d'une critique complaisante mais ceux que l'on se passe de génération en génération, dont les thèmes ressemblent à des problèmes ardus de société. Non, comptez vraiment. La liste est nettement moins longue qu'on ne l'imagine.

A l\'approche de ses 25 ans, le MUPANAH se restructure. Une nouvelle vision nous est présentée par le directeur de l\'institution. Il nous dit vouloir impliquer davantage l\'Etat haïtien et la société civile. Bientôt, une vaste campagne de mobilisation sera entreprise à travers tout le pays pour mieux faire connaître le musée.

Robert Paret, le directeur général du Musée du Panthéon national d\'Haïti (MUPANAH), nourrit l\'idée de refaire de l\'établissement situé tout près du Palais national un véritable musée des Pères de la Patrie. Nommé en octobre dernier, le nouveau D.G. entend, à court terme, ouvrir le musée pendant les week-end de façon à permettre à ceux qui ne peuvent le visiter durant la semaine de le faire les samedi et dimanche. Architecte et peintre de renom, homme d\'action, Robert Paret promet, à moyen terme, d\'organiser deux ou trois manifestations à caractère éducatif, culturel et historique par année, en commençant dès 2007. À plus long terme, l\'ancien membre du cabinet particulier de l\'actuel ministre de la Culture et de la Communication affirme qu\'il va travailler à une meilleure structuration de la muséologie haïtienne, en créant ce qu\'il conviendrait d\'appeler : la Direction générale des Musée nationaux haïtiens.